D’habitude, vers la mi-avril, les ruches essaiment. En 2014, on a eu presque une dizaine d’essaims ! Ce qui est quand même beaucoup.
Cette année : 1 essaim, plutôt petit.
Et un second chez Alain.
Amicale de micro-apiculteurs locaux
D’habitude, vers la mi-avril, les ruches essaiment. En 2014, on a eu presque une dizaine d’essaims ! Ce qui est quand même beaucoup.
Cette année : 1 essaim, plutôt petit.
Et un second chez Alain.
6 ruches ont passé l’hiver. 4 petites et 2 grosses.
C’est plutôt pas mal, comparé aux deux dernières années !
En 2013, nous n’avons pas eu d’essaim a mettre dans la ruche kenyane.
A cette occasion, on a pu mesurer la difficulté de déplacer un essaim d’une ruchette « normale » vers cette ruche.
En 2014, on a fabriqué une ruchette kenyane en carton.
L’intérêt, c’est de pouvoir ensuite attraper les « barres » avec les rayons en cours de construction, et les abeilles qui sont dessus.
Attention, notre ruchette est en carton, et les abeilles attaquent le carton !
En images :
Comme ce fut le cas déjà l’hiver dernier… le mois de février engendre son lot de questions. Nos ruches sont elles toujours pleines ? Nos abeilles ont elles survécu à la froidure hivernale ?
VOIR…Ce serait tellement bien !
Soyons raisonnables. Même si la température aujourd’hui est plus clémente, il est hors de question d’ouvrir.
Le temps particulièrement pluvieux de ces dernières semaines nous incite à penser que les réserves doivent être maigres. Ne nous laissons pas tromper par le premier rayon de soleil, certes chaleureux, mais n’annonçant pas encore la fin de l’ hiver.
Nous allons aider ces demoiselles à franchir la dernière ligne droite avant la nouvelle année (année « apicole », cela va sans dire).
Une semaine plus tard, nous jetons un coup d’œil aux nourrisseurs . Ils sont déjà vides.
Avaient-elles si faim ? Ont-elles, comme la cigale déjà tout avalé ?
Ou bien, prévoyantes comme des fourmis, elles ont pu patiemment, descendre dans les cadres devenus vides ce miel inespéré. Qu’en pensez-vous?
Nourrir les abeilles : voir la vidéo de l’an dernier.
Normalement, l’apiculteur bien doté récolte maintenant !
C’est le miel de printemps, fourni par les ruches riches de l’an passé. « Ruches riches », vous notez !
Et bien nous aussi, avec notre bonne grosse ruche, nous avons récolté notre miel de printemps. 8 kg. On n’est pas peu fiers…
Pour la petite histoire, on comptait sur les essaims de Joël, mon Maître, pour étoffer notre rucher. D’essaims, point.
Alors que notre bonne grosse ruche a essaimé… 4 fois.
Chaque essaim fut une aventure sympathique. Les anecdotes de l’année sont les suivantes :
Quelques photos ci-dessous de nos beaux essaims de cette année :
Cette saison, nous allons rajouter quelques ruches. J’en ai récupéré « apacher » auprès de Jacques, mon Mentor principal, mais elles demandent un petit coup de rafraichissement.
On a donc installé le chantier grattage, brûlage, réparation, peinture…
Les cadres sont prêts à être gauffrés, la ruche est opérationnelle. YAPUKA !