Catégorie : Avant 2018

Cette année nous voulions rajouter quelques ruches « normales », et on sait bien que cette normalité est celle du point de vue de l’apiculteur, celui qui récolte, et aussi une ruche différente, dite « Top bar hive », ou ruche kenyane.

Vous trouverez de nombreux liens en cherchant « top bar hive » ou « ruche kenyane » sur le net. A y regarder de plus près, tout ce qui concerne l’extraction du miel est moins (peu ?) documenté. En fait, ça doit être drôlement coton de récolter… Mais on n’en est pas là.

Autre motivation pour bâtir cette ruche, cela semble facile et accessible d’avoir des parois vitrées. Pour « mater ».

Quelques images, ça prend forme !

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Depuis que le gel de cet hiver est passé les beaux jours sont là.

Très grosse activité sur les ruches en cette fin février !!
Qu’on se le dise.

Un petit raffinement à partir d’une recette plus que basique « la pintade au four ». L’idée, c’est que la pintade risque toujours d’être un peu sèche lorsqu’on la fait cuire au four. Et si je la badigeonnais de miel avant d’enfourner ?  A y être, je vais mettre quelques cuillères de miel à l’intérieur, c’est rien que du bon, cela va le faire.

Eh bien sans mentir, c’était une réussite : la pintade, pas sèche et un petit goût sucré à peine marqué, juste ce qu’il faut pour apprécier la chair fine de la bestiole ! Bon, en cours de cuisson, j’avais arrosé avec un mélange eau/miel. C’est vrai.

Pour 18 gâteaux (avec le moule adéquat, bien sûr !)

• 50g de poudre d’amande
• 50g de farine
• 100g de miel et 50g de sucre (voire 100% miel)
• 75g de beurre
• 4 blancs d’oeufs
• 1/2 c à café d’extrait de vanille
• 1 pincée de sel

1. Mélanger la poudre d’amande, le sucre, le miel, la farine, la vanille et le sel.
   
2. Rajouter au mélange le beurre fondu qui doit cuire, brunir et sentir la noisette  (ESSENTIEL !)
3. Battre les blancs en neige à la fourchette (peu fermes) et les incorporer au délicieux mélange (oui, il faut goûter chaque étape !)
4. Cuire au four à 200° 15 à 20 minutes selon la coloration souhaitée des gâteaux.
   

Il va sans dire que le cuisinier a fait préchauffer son four avant de commencer !

A déguster tiède ou froid selon le degré de résistance à l’odeur qui chatouille les papilles!

Surprise ! Cet après-midi, en VTT, au détour d’un sous-bois je tombe sur ça…

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Bon, certes, il faut être un peu gland (gland dans un bois de chênes !) pour aller faire du vélo dans la forêt et dans la boue par une température légèrement au-dessus de 0° (Celsius, je précise pour nos amis étrangers).

Je n’avais que mon portable pour saisir cet instant, d’où la qualité moyenne des photos et de la vidéo qui suit… Mais j’y retournerai.
En fait, je pense savoir à qui ces ruches appartiennent. Je vais mener l’enquête et poser quelques questions techniques à l’apiculteur en question.

On peut s’interroger sur le choix des ruchettes plutôt que des ruches ?
Sur leur positionnement, en arc de cercle vers le sud, mais en arc de cercle ?
Sur ce qui est noté en blanc sur les ruches, un truc technique de pro, sans doute ?

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zJRj7fDpq2o[/youtube]

Bon, Joël, je t’y amène samedi ou dimanche, trouve-toi des croquenots de qualité !

28 janvier 2012 – Plutôt doux l’hiver, non ?  Tant mieux ! Dirions nous. Mais voilà ; les abeilles se sont quand même activées au lieu de se reposer sagement ! Des cigales !!!  Maintenant, les réserves touchent à leur fin. L’apiculteur bienveillant y a pensé, bien avant l’hiver, d’ailleurs. Allez ! Un petit festin attend les demoiselles,  jusqu’à la saison nouvelle ! Cette expression me dit quelque chose, pas vous?

Et pour saliver …… la vidéo, juste en dessous.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=-5j3jKzkZiM[/youtube]

En images, le transfert de notre premier essaim dans notre première ruche.
(Clic sur les images ci-dessous, re-clic pour sortir).

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